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Classe de maternelle
D'où vient Ma place au travail?

Ma place au travail est un mouvement spontané et non partisan qui a émergé sur les réseaux sociaux en mars 2021 en réponse à la pénurie de places en garderie au Québec. 

 

Le nom provient du mot-clic #maplaceautravail, né d’un cri du cœur d’une maman de Cacouna inquiète de ne pas pouvoir terminer ses études universitaires et entrer sur le marché du travail faute d’une place en garderie pour son poupon au terme de son congé de maternité. Ses préoccupations ont rapidement trouvé écho auprès de milliers de parents, qui se sont regroupés virtuellement.

 

Maintenant devenu OBNL, Ma place au travail vise à faire connaître les difficultés bien réelles que les familles rencontrent dans leurs recherches d’un milieu de garde, et ce, tous types de milieux confondus. Il souhaite exposer les importantes répercussions de cette pénurie sur la vie personnelle, professionnelle et financière des parents. 

En 2023, Ma place au travail compte plus de 30 000 abonné.e.s, des centaines d'entrevues sur diverses plateformes et mot clic utilisé à plus de 5000 reprises. C'est également le fruit du travail et de l'implication de plus d'une centaine de parents mobilisés aux quatre coins du Québec. 

NOTRE MISSION
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Assurer une veille de l’offre proposée aux familles québécoises en matière de services de garde et intervenir auprès des instances locales, nationales et gouvernementales afin que chaque parent qui le désire puisse avoir accès à une place de qualité et subventionnée pour son enfant.

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NOTRE VISION

L’OBNL Ma place au travail souhaite contribuer à:

 

  • Un Québec qui positionne la famille au sein de ses projets de société

 

  • Un réseau de services de garde inclusif et accessible à tous

 

  • Offrir des lieux d’échanges et de réseautage, où les parents auront accès à diverses ressources pour s’informer et se mobiliser

 

  • Éduquer les parents sur leur pouvoir d’agir en tant que citoyens

  • Offrir du soutien aux personnes morales qui entreprennent des actions en lien avec notre mission

L'ÉGALITÉ DES CHANCES

 

Nous croyons que chaque enfant devrait pouvoir avoir une place en milieu de garde, malgré son choix de religion, son sexe et ses caractéristiques physiques, comportementales ou intellectuelles.

L'AUTONOMISATION

 

Nous reconnaissons la force et le potentiel de chacun de nos membres et nous favorisons une approche les menant à se responsabiliser et à se dépasser.

NOS VALEURS

L'INCLUSION

 

Nous appuyons, reconnaissons et valorisons la diversité des membres au sein de notre organisme.

L'ÉGALITÉ DES SEXES

 

Nous considérons que les hommes et les femmes devraient tous deux pouvoir s’épanouir professionnellement s’ils le désirent.

LA DÉMOCRATIE

 

Nous considérons qu’en tant que citoyens, nous avons un pouvoir d’agir et nous croyons que l’éducation à la citoyenneté est un vecteur de changement.

LA COLLABORATION

 

Nous croyons qu’en agissant de pair avec les milieux politiques, municipaux et communautaires, nous pourrons générer des changements de société importants.

NOS EMPLOYÉES

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Marilou Fuller
Directrice générale

À combler
Coordination Communications et mobilisation

NOTRE CONSEIL D'ADMINISTRATION

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Oriane

Maman, CPA et professeure de comptabilité à l’université, je suis passionnée par ma carrière en enseignement et en recherche. Dans mon travail autant que dans ma vie personnelle, les questions entourant l’égalité entre les hommes et les femmes, et notamment l’égalité économique, m’interpellent. Déformation professionnelle oblige, je porte une attention particulière aux chiffres et à leur évolution. Au Québec, les femmes sont toujours moins présentes et représentées sur le marché du travail, et leur situation à cet égard s’est détériorée de façon disproportionnelle par rapport à celle des hommes durant la pandémie. L’accessibilité des services de garde d’enfants est un des éléments importants pouvant favoriser ou nuire à la capacité des femmes à intégrer et demeurer sur le marché du travail, avec toutes les conséquences que cela peut avoir sur leurs enfants et leurs familles. Je crois que les progrès des dernières décennies ne doivent pas occulter le chemin qu’il reste à parcourir et j’ai donc décidé de rejoindre MPAT afin de contribuer à aider les parents faisant face au manque de places en garderie et afin que ce sujet demeure une priorité.

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Carolanne

J’ai rejoint Ma place au travail parce que je trouve révoltant qu’encore aujourd'hui, des parents, principalement des femmes, doivent sacrifier leur carrière ou être coincées dans une situation difficile faute de place en garderie. De nombreuses recherches le démontrent : les services de garde éducatifs à l’enfance (SGEE) accessibles et abordables favorisent l’équité entre les hommes et les femmes, ont de nombreux bienfaits sur le développement global des petits, favorisent l’inclusion des familles plus vulnérables tout en ayant des retombées économiques positives pour la société. Alors pourquoi est-ce que chaque enfant n’a pas sa place en garderie et pourquoi des milliers de familles s'appauvrissent pour pouvoir maintenir leur emploi?

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Alexie

J’ai toujours eu un esprit militant. La dernière fois que je me suis sentie autant investie dans une cause politique, c’est lors du printemps érable. Le recul pour les femmes créé par cette situation est épeurant. Je suis donc touchée par cet organisme en tant que femme, mais je suis aussi devenue maman pour la première fois cette année. Cette cause me révolte autant qu’elle me tient à coeur. J’ai choisi de m’investir parce que je sens que notre implication peut faire bouger les choses auprès des instances gouvernementales. Je me sens aussi personnellement impliquée puisque je n’ai toujours pas de place en garderie pour mon bébé. Je trouve inconcevable de me dire que la société puisse m’abandonner dans mon désir de retourner travailler, alors que la pénurie en enseignement est frappante, en n’offrant pas de place à mon enfant.

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Anouk

Avant d’avoir des enfants, j’aurais dit que j’étais une CPA accomplie et carriériste qui donnait son maximum pour réussir. Aujourd’hui, mère de jumeaux, je peux dire que je suis encore aussi dévouée qu’avant dans mon travail, juste pas mal plus fatiguée! Blague à part, je dis souvent que la chose la plus difficile à faire pour moi est d’être aussi bonne et présente dans mon rôle de mère que dans mon rôle de vice-présidente finance. Accomplir cela sans l’assurance d’avoir des places en garderie, ce n’est simplement pas faisable. Aucun parent ne devrait avoir à craindre pour sa sécurité financière à cause du manque de places en garderie ou prendre la décision déchirante d’envoyer son enfant dans une garderie en deçà des standards de qualité pour pouvoir retourner travailler. Je connais trop de mères qui vivent cette situation pour ne pas essayer de faire bouger les choses; c’est pour cette raison que j’ai décidé de me joindre au conseil d’administration de Ma place au travail.

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Audrey-Anne

Maman de deux garçons et enseignante, je me suis jointe à Ma place au travail car j’étais désemparée de voir qu’en 3 ans (âge qui sépare mes 2 garçons), il n’y avait pas eu d’améliorations majeures dans le réseau des services de garde éducatifs à l’enfance. Pour moi ça ne fait aucun sens qu’une famille doive attendre plus de 2 ans pour une place alors que maman souhaite retourner au travail après 1 an. Que la condition féminine prenne un si grand coup encore aujourd’hui et qu’on en vive les impacts dans nos domaines majoritairement féminins qui sont encore plus frappés par la pénurie de main-d’oeuvre. Des enseignantes, infirmières, préposées,éducatrices même, qui ne peuvent retourner au travail faute de place. Cette situation est inacceptable et doit être rectifiée. On ne peut pas laisser les familles continuer de s’endetter ainsi en plus du stress quotidien que provoque cette situation.

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Christine

D'être membre du conseil d'administration de Ma place au travail est un privilège pour moi. J'avais un profond désir de m'impliquer dans un mouvement où l'on dénonce les inégalités sociales. La pénurie de place en garderie impacte majoritairement la place de la femme au travail. Ce mouvement social fait écho partout au Québec. Si mon temps et mon énergie peut aider à faire semer du beau pour toutes celles et ceux qui vivent les impacts directs alors j'en serai grandie. Je crois profondément que tous les milieux de garde devraient être fleurissants pour tous nos minis. Sans limites, jamais.

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Marylin

L’accès à une place en service de garde éducatif abordable et de qualité pour toutes les familles qui le souhaitent devrait être un droit, au même titre que l’accès à l’école. Les parents du Québec ne devraient pas être contraints à mettre de côté leur vie professionnelle, leurs études, leur sécurité et leur indépendance financières durant des années parce que l’investissement en petite enfance n’a pas été une priorité pour nos décideurs. Qui plus est, cet enjeu multifactoriel a des conséquences importantes sur les femmes et les enfants, tout particulièrement ceux et celles présentant des facteurs de vulnérabilité; dans une société juste et équitable comme le Québec se doit de l’être, il est de notre devoir de prendre particulièrement soin d’eux et de ne pas les laisser tomber. 

Mot de l'instigatrice

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Salut! Moi c’est Myriam - alias maman ourse ou la madame de Cacouna - qui a décidé de lancer le mot-clic #maplaceautravail en mars dernier. Je n’avais aucune idée alors que je deviendrais porte-parole et instigatrice d’un mouvement national qui deviendrait un OBNL. Je suis aussi la maman de Jules, 14 mois, et une étudiante au doctorat en psychologie. Si je m’implique, c’est avant tout pour l’égalité des chances chez nos tout-petits, mais aussi pour l’égalité des sexes. Un réseau de services de garde équitable et de qualité, c’est la clef pour que toutes les mamans qui le désirent aient leur place sur le marché du travail et dans la société en général.

Confidentialité et protection
des renseignements personnels

La direction générale, Marilou Fuller, est responsable de la protection des renseignements personnels.

Toutes questions portant sur le contenu de notre politique peuvent lui être adressée par courriel à marilou@maplaceautravail.org

PRINCIPES GÉNÉRAUX

Dans le respect de la Loi sur l’accès aux documents des organismes publics et sur la protection des renseignements personnels, Ma place au travail met tout en œuvre pour évaluer ou prévenir les risques d’incident de confidentialité.

 

DÉFINITION – INCIDENT DE CONFIDENTIALITÉ

Accès non autorisé par la loi à un renseignement personnel, à son utilisation ou à sa communication, de même que sa perte ou toute autre forme d’atteinte à sa protection.

 

ÉVALUATION DU PRÉJUDICE

Lors d’un incident de confidentialité, Ma place au travail doit évaluer s’il en découle un risque qu’un préjudice soit causé à une personne dont un renseignement personnel est concerné. Elle doit alors considérer plusieurs facteurs, dont :

  • La sensibilité des renseignements personnels, tels un renseignement financier ou un renseignement d’identité;

  • Les conséquences appréhendées de l’utilisation de ces renseignements, comme un vol d’identité, une fraude financière, ou une atteinte importante à la vie privée;

  • La probabilité que ces renseignements puissent être utilisés à des fins préjudiciables.

 

Un préjudice sérieux correspond à un acte ou à un événement susceptible de porter atteinte à la personne concernée ou à ses biens et de nuire à ses intérêts de manière non négligeable.

  Il peut conduire, par exemple :

  • À l’humiliation;

  • À une atteinte à la réputation;

  • À une perte financière;

  • À un vol d’identité;

  • À des conséquences négatives sur un dossier de crédit;

  • À une perte d’emploi.

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